Fin des années 90 : plusieurs groupes font exploser les formats du dub et réinvente un genre musical propre, entre dub jamaïcain des années 1970, jungle, drum’n’bass ou sonorités orientales. Un novo dub qui s’infiltre partout, séduisant par delà les frontières, et qui propulse sur le devant de la scène des groupes comme High Tone et Kaly Live Dub, érigés en fer de lance. Frères de son et amis, les deux piliers lyonnais de cette nouvelle scène décident en 2003 de se voir dans un espace/temps limité, et à travers l’improvisation, d’accoucher d’un projet hybride. Kaltone est né.
Un maxi 4 titres paru il y a 10 ans et désormais mythique, premier de la série des « meets » lancée par High Tone, et qui les verra collaborer par la suite avec d’autres très grands noms de ce dub french touch (Zenzile, Improvisators Dub, Wang Leï, Brain Damage).
Kaly Live Dub, c’est le groupe d’électro-dub qui déménage tout sur la scène française. Créé à la base en 1995, dans le quartier populaire de la Croix Rousse à Lyon, il s’axait alors dans un style roots-reggae…
Et concernant Kaly Live Dub, comme son nom l’indique, le live est une seconde nature : nourrissant à la fois son goût pour l’expérimentation inédite, son penchant pour une liberté artistique totale et son aptitude à l’improvisation. C’est donc sur scène que le groupe a d’abord bâti sa solide réputation avant de digérer dans les derniers soubresauts du 20e siècle une authentique révolution technologique (principalement via l’utilisation des samplers) quant à la manière de composer sa musique, et de nous gratifier de quelques galettes de 1er choix.
Ainsi, après trois albums pour le moins remarqués (Electric Kool Aid paru en 2000, Hydrophonic en 2002 et Répercussions sorti chez PIAS en 2005), le groupe a pris son véritable envol, multipliant les concerts et les rencontres originales : partageant la composition d’un disque avec leurs cousins et voisins de pallier High Tone – Kaltone en 2004 chez Jarring Effects – ou en testant sur les planches tous les enchevêtrement soniques possibles avec le « trip-jazz-hop-er » Erik Truffaz !
Amoureux des musiques indie des années 60 à aujourd’hui, High Tone a toujours su digérer un panorama musical varié autant que les éléments technologiques clés de chacune de ces décennies : guitare wah des 70’s, synthès des 80’s, turntablism et sampler des 90’s et logiciels électro des années 2000.
Parce que dépasser le cadre du style pour ne parler que de musique a toujours été leur seul credo. High Tone a souvent alterné la typologie de ses disques entre expérimentation et maturation. Les 1ers opus étaient spontanés, sans recherche de maîtrise particulière, magmatiques, quand Wave Digger ou Out Back étaient des albums de changements.
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Fin des années 90 : plusieurs groupes font exploser les formats du dub et réinvente un genre musical propre, entre dub jamaïcain des années 1970, jungle, drum’n’bass ou sonorités orientales. Un novo dub qui s’infiltre partout, séduisant par delà les frontières, et qui propulse sur le devant de la scène des groupes comme High Tone et Kaly Live Dub, érigés en fer de lance. Frères de son et amis, les deux piliers lyonnais de cette nouvelle scène décident en 2003 de se voir dans un espace/temps limité, et à travers l’improvisation, d’accoucher d’un projet hybride. Kaltone est né.
Un maxi 4 titres paru il y a 10 ans et désormais mythique, premier de la série des « meets » lancée par High Tone, et qui les verra collaborer par la suite avec d’autres très grands noms de ce dub french touch (Zenzile, Improvisators Dub, Wang Leï, Brain Damage).
Kaly Live Dub, c’est le groupe d’électro-dub qui déménage tout sur la scène française. Créé à la base en 1995, dans le quartier populaire de la Croix Rousse à Lyon, il s’axait alors dans un style roots-reggae…
Et concernant Kaly Live Dub, comme son nom l’indique, le live est une seconde nature : nourrissant à la fois son goût pour l’expérimentation inédite, son penchant pour une liberté artistique totale et son aptitude à l’improvisation. C’est donc sur scène que le groupe a d’abord bâti sa solide réputation avant de digérer dans les derniers soubresauts du 20e siècle une authentique révolution technologique (principalement via l’utilisation des samplers) quant à la manière de composer sa musique, et de nous gratifier de quelques galettes de 1er choix.
Ainsi, après trois albums pour le moins remarqués (Electric Kool Aid paru en 2000, Hydrophonic en 2002 et Répercussions sorti chez PIAS en 2005), le groupe a pris son véritable envol, multipliant les concerts et les rencontres originales : partageant la composition d’un disque avec leurs cousins et voisins de pallier High Tone – Kaltone en 2004 chez Jarring Effects – ou en testant sur les planches tous les enchevêtrement soniques possibles avec le « trip-jazz-hop-er » Erik Truffaz !
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